jeudi 6 août 2015

Les curbelets



Les curbelets sont des gaufres sèches, cuites traditionnellement sur le feu ou le gaz dans un "fer à gaufres"*. Pour ma part je les réalise dans un gaufrier équipé de plaques à gaufrettes. Ces petites gourmandises fines et croustillantes se mangent vraiment sans faim et sont les alliées idéales des pauses café  !



Pour environ 40 gaufrettes ou 20 curbelets

150 g de farine blanche
40 g de farine complète
(ou 190g de farine blanche)
100 g de sucre
(ou 50g de Délisucré)
3 oeufs
6 cl d'eau-de-vie
12 cl de vin blanc
7 cl de lait
10 cl d'huile
arômes :
 fleur d'oranger, zestes de citron ou d'orange, vanille

Version au café :
2 expressos à la place du vin blanc
+ quelques gouttes d'extrait de café
6 cl de rhum ambré à la place de l'eau-de-vie
arômes : cardamome ou tonka râpée



Verser les farines et le sucre dans un saladier.

Faire un puit au centre et y casser les oeufs. Ajouter l'huile puis commencer à fouetter la pâte en allongeant peu à peu avec le lait, le vin blanc et le rhum. Terminer par les arômes.
La pâte obtenue est proche d'une pâte à crêpes.

Laisser reposer la pâte 1 à 2 heures. 


Sur les plaques chaudes du gaufrier, mettre une petite louche de pâte au centre pour éviter les débordements quand on ferme le moule. 

Dès que les gaufres sont blondes, les rouler sur la queue d'une cuillère en bois, directement sur les plaques car elles se dessèchent très vite.

Il faut compter environ 1 h pour cuire 20 grands curbelets

Une fois que les premiers curbelets sont cuits, on peut rallonger la pâte avec de l'eau ou du lait pour obtenir l'épaisseur souhaitée.

Lorsque la grande gaufrette est refroidie, on peut la casser en deux facilement pour obtenir 2 curbelets plus petits.



Sources : 
Les curbelets de Thérèse, La Dépêche du Midi du 9/05/2014, un peu allégés en sucre.










Suggestions : 
Les curbelets accompagnent à merveille les coupes glacées, la crème anglaise, la mousse au chocolat, les salades de fruits...





* Fer à curbelet : objet qui faisait autrefois partie de la dot de la mariée, et qui était souvent gravé aux initiales des promis agrémenté d’un sigle ou d’armoiries, selon que la famille était d’origine paysanne ou noble.







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